
C’est très long. Plus d’un mois que j’y consacre plus ou moins deux heures par soirée. Curieusement, Ça m’apaise.
À quoi c’est dû ? en partie à l’invendabilité de la chose je crois. À la louche, il doit bien me rester deux – voire trois – mois de travail. Si j’avais l’intention de vendre cette broderie, même en restant en-dessous du smic, ça ferait une somme assez considérable, je veux dire pour les gens qui apprécient mon boulot et qui – comme vous pouvez l’imaginer – ne fréquentent pas les clubs de milliardaires.
C’est mon petit art à moi, pour moi et mes proches. Pas besoin d’être efficace, rentable et tout le ratatsoin. Juste passer quelques instants en bonne compagnie avec ma douce à écouter plus que regarder quelques documentaires, ou accompagner l’apéro avec quelques amis en brodant plus qu’en buvant, et en discutant gentiment.
L’ouvrage n’a pas encore de nom et c’est loin d’être fini : Il manque encore un personnage et tout le fond qui n’est pas encore bien défini dans ma tête.
À suivre donc … mais patience n’est-ce pas 🥸
Pénélop
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